Patsy Qc
lundi 19 mai 2014
Tisane du sous-bois ~ printemps
dimanche 2 février 2014
Jus de citron + eau chaude le matin à jeun
Voir le lien ci-dessous:
http://www.eddenya.com/index.php/sante-et-sciences/3475-pourquoi-boire-de-l-eau-chaude-et-du-citron--le-matin
extrait:
Il soutient l’immunité : la vitamine C fait plus que de vous donner un joli teint. Associée au potassium, elle renforce le système immunitaire de l’organisme
Il vous hydrate : l’eau chaude et le citron hydratent les cellules du corps et permettent de remplacer tous les liquides qui ont été utilisés durant la nuit pour les fonctions du métabolisme.
Il vous donne la pêche : il donne de la vitalité.
Il participe à la perte de poids : la pectine contenue dans le citron aide à réduire les fringales.
Il vous donne une bonne haleine : la saveur du citron fraîche rafraîchit l’haleine et en prime les gencives adorent la vitamine C du citron.
La façon dont vous démarrez la journée donne le ton pour ce qui va suivre, adoptez la tasse d’eau chaude au citron. Essayez pendant un mois, on s’en reparle ensuite ?
Attention, cela ne marche que si vous pressez un citron, pas du tout avec les jus en bouteille. Le citron est généralement alcalin, mais les personnes « neuro-arthritiques » risquent au contraire de s’acidifier avec le citron. A doser selon votre constitution...»
jeudi 30 janvier 2014
Définition sommaire Décoction Alcoolature etc
C'est intitulé: "PREPARATIONS GALENIQUES"
« Infusion : Environ 1 cuillerées de plantes par tasse d'eau bouillante. Laisser infuser 10 minutes. Consommer de 1 à 3 tasses par jour.
Décoction : Placer la plante dans l'eau froide portée à ébullition de 10 à 30 minutes
Macération : Mettre la plante à froid dans un liquide (vin, eau, alcool, huile). Le temps de macération dépend de la plante rarement plus de 10 heures en général.
Cataplasme : Préparation de la plante assez pâteuse pour être appliquée sur la peau dans un but thérapeutique. La plante peut être broyée hachée à chaud ou à froid ou mélangée à de la farine de lin pour obtenir la bonne consistance. Le classique cataplasme à la farine de lin se prépare avec de l'eau dans laquelle on délaye à froid de la farine de lin. On fait cuire doucement en remuant constamment pour obtenir la consistance voulue. Il doit servir de support aux substances qui seront déposées à la surface au moment de l'application. (Farine de moutarde, poudre de guimauve ...)
Compresse : Application durable d'une gaze ou d'un linge sur la partie du corps à soigner. La gaze a préalablement été imbibée de la préparation qu'on veut employer.
Teinture alcoolique : On la prépare en faisant dissoudre dans de l'alcool des substances médicamenteuses. On peut aussi faire macérer des plantes dans de l'alcool . Les teintures végétales sont dosées à raison d'une partie de substance végétale pour cinq parties d'alcool.
Crème : Mélange onctueux, semi-liquide, produit naturellement par certaines plantes sous forme de latex, mais plus souvent préparé en diluant des principes actifs dans un substrat de glycérides. On étale les crèmes sur la peau et, par friction, elles pénètrent dans l'épiderme.
Emplâtre : Plus adhérente que la crème, cette présentation semi-solide se façonne selon les contours de la partie du corps où elles est appliquée. L'emplâtre contient des graisses, de la résine, parfois de la cire.
Enveloppement : Compresse qui entoure tout un membre ou une partie du corps. On le fait avec une bande de gaze imprégnée de solution médicamenteuse.
Fomentation : Variété de compresse ou de cataplasme maintenue quelques minutes seulement sur la peau.
Fumigation : Utilisation de vapeurs chargées des principes actifs de la plante. On peut ainsi faire bouillir des feuilles d'eucalyptus dans une pièce qu'on veut désinfecter. La fumée de certains végétaux qu'on brûle lentement comme de l'encens peut aussi servir aux fumigations : c'est le cas de la fumée de baies de genévrier.
Gargarisme : Préparation liquide dont on se rince la bouche, la gorge, le pharynx, les amygdales et les muqueuses. Il sert à désinfecter ou à calmer. Le gargarisme ne doit jamais être avalé.
Huile médicinale : Les fruits et les graines de nombreuses plantes donnent, lorsqu'on les presse, de l'huile végétale, à ne pas confondre avec l'huile essentielle, qui n'est pas un corps gras. On peut y faire macérer des racines et des drogues séchées pour réaliser des huiles médicinales. Certaines sont utilisées en friction, d'autres sont absorbées par voie orale.
Inhalation : Variété de fumigation dans laquelle le malade hume directement les vapeurs thérapeutiques en plaçant sa tête au-dessus du récipient où l'extrait de plante aromatique se dissout dans de l'eau presque bouillante. On fait des inhalations pour dégager les sinus et les voies respiratoires supérieures.
Injection : Introduction d'un liquide dans les cavités naturelles (oreilles, nez, vagin, etc.) soit directement, soit au moyen d'une seringue ou d'une canule. Le liquide injecté est généralement une infusion ou une décoction préalablement tiédie.
Lait : Liquide obtenu lorsqu'on pile des graines oléagineuses dans de l'eau. On fait ainsi du lait d'amandes.
Lavement : Introduction d'un liquide dans l'intestin au moyen d'une canule rectale reliée à une poire à lavement. Il a le plus souvent un effet purgatif, parfois émollient ou astringent.
Liniment : Mélange hétérogène, de consistance molle, contenant souvent de l'huile et de l'alcool. Pour soulager les rhumatismes, les douleurs musculaires et les traumatismes, on en frictionne localement la peau.
Lotion : Préparation liquide dont on lave rapidement l'épiderme aux endroits irrités. On l'applique avec de l'ouate. Il existe des lotions spéciales pour le cuir chevelu.
Onguent : Préparation crémeuse qu'on étale par friction. C'est un mélange où les principes actifs sont dissous dans des corps gras.
Parfum : On utilise les essences végétales de certaines plantes aromatiques pour préparer des parfums. Certains ont des propriétés antiseptiques.
Potion : Liquide destiné à être bu où l'on a fait entrer les principes actifs de la plante, par extrait, infusion ou macération.
Poudre : On la fabrique en broyant les plantes desséchées, ou leurs parties actives, à l'aide d'un moulin ou d'un mortier. Les poudres peuvent servir à faire des extraits, être délayées dans de l'eau ou être mélangées à la nourriture.
Shampooing : Préparation qu'on mélange à de l'eau pour laver les cheveux et le cuir chevelu. Certains shampooings sont antiseptiques et antiséborrhéiques.
Sirop : Préparation destinée à être bue. On l'obtient en faisant cuire une infusion ou une macération à laquelle on a rajouté du sucre et parfois un aromatisant.
Solution : Mélange liquide où les principes actifs de la plante sont dissous dans un solvant approprié (eau, alcool, huile, éther, etc.).
Suc : Liquide qu'on obtient par simple écoulement de la sève à l'extérieur du tronc, ou lorsqu'on presse les fruits, les feuilles ou la tige.
Vin toniques: On prépare des vins médicinaux en faisant macérer des écorces, des racines ou des feuilles de certaines espèces dans du vin. On fait ainsi du vin de cannelle, de quinquina, de gentiane, et d'autres.
Alcoolat : Liquide incolore qu'on obtient en faisant macérer des plantes fraîches dans de l'alcool.
Alcoolature : Liquide coloré obtenu par macération de plantes fraîches dans l'alcool. L'alcoolature faite à partir de feuilles prend une couleur verte, celle qui provient des racines est brune. Les enzymes qu'elles contiennent étant toujours actifs, les alcoolatures se conservent mal et doivent être utilisées rapidement. On les préfère aux alcoolats lorsque les principes actifs de la plante ne supportent pas la chaleur de la distillation.
Élixir : On l'obtient en faisant macérer des plantes, ou des extraits de plantes, dans une solution contenant principalement de l'alcool et du sucre. Certains élixirs sont préparés à partir d'alcoolats, d'autres contiennent des vins médicinaux.
Extrait : Solution qui recueille une partie des principes actifs de la plante soumise à traitement. D'abord la plante est séchée ou réduite en poudre. On lave la drogue, ou sa poudre, avec un solvant (eau, alcool, éther) qui en retire les principes solubles. Ce procédé, qui s'appelle la lixiviation, est classiquement utilisé pour faire du café : on fait passer de la vapeur d'eau ou de l'eau bouillante au travers des graines moulues. Ensuite, on fait évaporer la solution obtenue jusqu'à la concentration désirée.
Extrait fluide : C'est un extrait où l'évaporation de la solution est arrêtée à un faible degré de concentration.
Extrait mou : L'évaporation de la solution, plus forte ici que dans l'extrait fluide, laisse comme résidu une sorte de pâte molle. Le café se sert parfois ainsi en Amérique du Sud.
Hydrolat : Liquide qu'on obtient en faisant macérer des plantes fraîches ou sèches dans de l'eau, puis en distillant la solution. L'eau de rosé, ainsi préparée par distillation, est un hydrolat.
Hydrolé : Liquide qu'on obtient en faisant dissoudre dans de l'eau une substance médicamenteuse. C'est une solution. L'eau de fleurs d'oranger, préparée par dissolution dans de l'eau d'une essence tirée de ces fleurs, est un hydrolé et non un hydrolat.
Intrait : C'est une variété d'extrait physiologique végétal. Pour le faire, on doit utiliser des plantes fraîches qu'on stabilise à la vapeur d'eau ou d'alcool et qu'on fait ensuite sécher sous vide. Ces plantes stabilisées conservent ainsi toutes leurs qualités. On leur fait ensuite subir le même traitement qu'aux drogues ordinaires : on les lave à l'eau ou à l'alcool et on soumet à évaporation la solution obtenue. L'extrait qui en résulte est appelé intrait ; il possède les qualités de la plante fraîche. C'est une préparation couramment utilisée pour la valériane, le marron d'Inde.
Mellite : Substance onctueuse qu'on prépare en faisant macérer des plantes dans du miel ou en faisant cuire un mélange de miel et d'hydrolé. Le miel rosat est une mellite : on ajoute à du miel une infusion astringente de pétales de rosés rouges ; il est employé comme gargarisme.
Mixture : Mélange de liquides médicamenteux qui agissent en synergie, chacun renforçant l'action des autres. On mélange ainsi les plantes douées des mêmes propriétés pour en faire des « espèces » : les espèces antispasmodiques, par exemple, peuvent regrouper dans une même mixture de la valériane, de la fleur d'oranger, de l'achillée millefeuille.
Pâte : C'est un mélange de consistance molle, préparé avec du sucre et de la gomme arabique. On y ajoute des principes actifs selon le but thérapeutique recherché.
Pommade : Crème épaisse où les principes actifs sont dissous dans des corps gras pour faciliter la répartition sur l'épidémie.»
Épine-Vinette plante médicinale
Arbuste des bois et broussailles des terrains calcaires de 1 à 3 m dont on utilise racines, écorce, feuilles et fruits.
L'épine-vinette est tonique et diurétique, elle agit également sur les engorgements du foie.
Egalement : Vomissements, nausées, ictère, constipation, métrorragie, varices, goutte, rhumatismes, hypertension.
En décoction 30 g pour un litre d'eau ; 3 tasses par jour.
Faire macérer à froid, pendant un quart d'heure, 30 à 40 g de seconde écorce dans 1 litre d'eau, porter à ébullition puis laisser infuser 20 minutes; 3 tasses par jour.
On extrait de la plante entière un colorant jaune utilisé pour teindre les tissus.
extrait de: http://www.lepetitherboriste.net/plantes/epinevinette.html
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--> VIDÉO :
Autre recommandation: http://www.repere.tv/?p=1762
Un vidéo de Anny Schneider "Des alicaments à profusion" Vers la fin du vidéo, elle explique l'utilité de cet arbuste Épine-Vinette :)
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Autres liens:
http://www.greenpouce.com/plante-epine-vinette.html
Et un dernier, don voici un extrait
http://www.after-plastie.com/fr/abc-sante/E/508-epine-vinette
-Alcaloïdes isoquinoléiques (2 à 3 % dans la racine): berbérine, berbamine, palmatine, magnoflorine
-Oxyacanthine (alcaloïde bisbenzyltétrahydroisoquinoléine)
-Vitamines C
-Acide malique.
L 'alcaloïde berberine (Epine Vinette est spatialement identique à la morphine, qui est aussi un alcaloïde isoquinoléique).
-Stomachique
-Diurétique
-Cholagogue (facilite sécrétion de la bile)
La berberine, à la dose 25 cg /jour, provoque:
-Embarras gastriques
-Cytostatique et cytotoxique
La berbamine a des propriétés:
-Hypotensive
-Fébrifuge
-Agit sur les Leshmanioses (parasite)
-Lithiases biliaires et Urinaires
-Stimulation de l'activité gastrique et du foie.
-Traitement des affections circulatoires (jambes lourdes).
-Lutte contre le catarrhe (inflammation et sécrétion des muqueuses) à faible dose.
-Lutte contre la fatigue (vitamine C)
-Insuffisance cardiaque (hypotenseur)
-Toxicomanies (du fait de la présence importante d'alcaloïdes)
-N'utiliser que sous contrôle médical, pas plus de 4 à 6 semaines d'affilée, du fait de la présence importante d'alcaloïdes.
mardi 21 mai 2013
mrc maskoutains - Les cours d'eau - Lancement d’une vaste consultation publique web inédite sur la restauration du bassin versant de la rivière Yamaska.
Saint-Hyacinthe, le 18 février 2013 – La rivière Yamaska porte le titre peu reluisant d’affluent le plus pollué du fleuve Saint-Laurent. On y trouve un cocktail de BPC, de DDT, de pesticides, de phosphore et de coliformes fécaux.
Cette pollution concerne non seulement les riverains mais toute la population du bassin versant, de Sutton à Sorel et de Rougemont à Drummondville. On évalue que plus de la moitié de ces personnes boivent de l’eau de surface en provenance de la Yamaska ou de l’un de ses affluents. De plus, la Yamaska traverse des terres cultivables parmi les plus fertiles du Québec. L’eau est utilisée pour produire bon nombre d’aliments distribués un peu partout en Amérique du Nord.
Il est urgent de redonner vie à cette rivière et à son territoire, dans l’intérêt des communautés actuelles et futures; cela est possible en améliorant nos comportements et nos habitudes de gestion. Voilà l’objectif des États généraux de l’eau du bassin versant de la Yamaska.